14/08/2025

Surfshark One – Chronique d’une cybersécurité qui roule 24/7

Par admin

Surfshark One - Chronique d’une cybersécurité qui roule 24/7

– Article en partenariat avec Surfshark

Vous avez déjà tenté de brancher votre vieux NAS un dimanche matin, café à la main, en vous disant « deux minutes, je jette un œil aux logs » ? Résultat : 472 connexions SSH depuis le Kazakhstan en moins de trois heures, un mot de passe « admin2025 » qui traînait encore et un petit script russe en train de jouer à la roulette avec vos sauvegardes. Le pire ? Vous étiez encore en pyjama. Depuis, vous avez appris la leçon : les pirates ne font pas grasse mat’. Et comme ils bossent 24/7, votre protection non plus n’a pas le droit de roupiller. C’est là que Surfshark One entre en scène : pas une armure blindée façon entreprise, juste quatre potes qui montent la garde à tour de rôle, même quand vous ronflez.

Dans les lignes qui suivent, on va parler de la suite de sécurité de Surfshark comme si on causait autour d’un kebab à 2 h du mat : sans langue de bois, avec de vrais cas concrets et, surtout, avec la certitude que demain matin à 4 h 17, un bot quelque part tentera encore de se faufiler dans votre vie numérique.

On commence par l’élément que tout le monde connaît déjà : le VPN. Sauf que, chez Surfshark, il ne se contente pas de changer votre IP pour binge Netflix US. Il chiffre tout, tout le temps, et surtout sans nombre limite de connexions. Vous pouvez l’installer sur votre PC de boulot, votre téléphone, la tablette de votre ado, le Chromecast du salon et le vieux Linux qui sert de seedbox dans le garage. Résultat : même si un voisin mal intentionné sniff le Wi-Fi de l’immeuble, il récupère juste du charabia AES-256.

Le petit truc en plus vraiment cool, c’est le mode CleanWeb activé par défaut. Adios pubs YouTube, trackers Facebook et pop-ups de consentement cookies. Votre page charge plus vite, votre CPU respire, et vous économisez des Mo sur votre forfait 4G. Votre connexion se dope aux vitamines. Ensuite, y’a le multi-hop : vos données passent par deux serveurs VPN à la suite. C’est pas indispensable tous les jours, mais quand vous vous connectez depuis l’aéroport d’Istanbul et que vous ne voulez pas que Big Brother sache que vous aimez les vidéos de cuisine coréenne, c’est royal. Je passe en vitesse sur le mode camouflage (même votre FAI vous a perdu de vue), la possibilité de whitelister certains sites, etc.

Toujours à la pointe le VPN requin vient d’annoncer Surfshark Everlink. Grâce à ce dernier, même si le serveur sur lequel vous êtes tombe en panne ou passe en maintenance, Everlink recolle le lien en temps réel sans jamais vous faire attendre. Grâce à une infrastructure brevetée, Surfshark redirige automatiquement le tunnel vers un serveur sain ; vous ne remarquez même pas le changement, votre IP reste cachée, votre binge YouTube ne s’interrompt pas. Toujours en ligne, toujours invisible.

Surfshark Everlink

Contrairement au classique « kill switch » qui coupe la connexion quand le VPN lâche, Everlink guérit la connexion avant qu’elle ne meure. Résultat : zéro déconnexion, zéro exposition, même en pleine heure de pointe ou sur un Wi-Fi d’aéroport douteux.
Disponible par défaut avec le protocole WireGuard sur tous vos appareils, sans surcoût, c’est la sécurité qui roule en pilote automatique.

Surfshark One intègre aussi le moteur antivirus signé Avira (l’un des plus reconnus du marché). Rien de révolutionnaire, mais il ne râle jamais. Pas de pop-up toutes les dix minutes pour vous dire que le fichier setup.exe de 1998 est dangereux. Il scanne en arrière-plan, signale rapidement si un téléchargement sent mauvais, et hop, au suivant. Vous pouvez même planifier un scan complet tous les dimanches à 8 h du matin, histoire de vérifier que votre PC n’a pas chopé un cheval de Troie pendant votre binge de The Office. Par contre, ne cherchez pas la quarantaine manuelle ou l’analyse heuristique poussée : c’est volontairement minimaliste. Si vous voulez un antivirus façon Fort Knox, il faudra une autre solution. Mais si vous voulez juste stopper les saloperies sans vous prendre la tête, Surfshark suffit.

L’outil a obtenu un score de 17,5/18 chez AV-Test, ce qui veut dire que si un malware tente de se faufiler, il finira quasi à coup sûr en quarantaine. Pas mal pour une solution qui coûte 0.6€ de plus par mois (par rapport au VPN seul).

Google, c’est pratique, mais il vous suit partout. Surfshark Search, c’est l’inverse : pas d’historique, pas de pubs, pas de profilage. Les résultats sont fournis par une API tierce, donc pas de bulle de filtres. Vous tapez « meilleur VPN 2025 », vous tombez sur des comparatifs, pas sur des pubs déguisées. Ainsi, vous évitez les suggestions personnalisées qui vous font croire que tout le monde pense comme vous. C’est reposant, et ça évite les échos algorithmiques.

Vous souvenez-vous de la fois où votre mot de passe Pizza2023! est apparu sur Pastebin ? Non ? Surfshark Alert, lui, oui. Dès qu’une adresse mail ou un numéro de carte bancaire fuite dans une base de données, vous recevez une notif. Pas une alerte anxiogène façon « PANIQUEZ-VOUS », juste un petit message : « Ton mail est dans la nature, change le mdp ». Ensuite, il vous suffit de cliquer sur le lien fourni, vous changez le mot de passe, et vous archivez l’alerte. Votre pote insomniaque qui scrute le dark web pour vous et vous réveille en cas de pépin continuera à bosser. Pour aller plus loin, vous pouvez surveiller plusieurs adresses mails, vos cartes bancaires, et même votre numéro de sécu (US, Lituanie, Bulgarie uniquement pour l’instant). C’est gratuit avec l’abo, donc autant en profiter.

Alternative ID c’est la fonction bonus que personne n’attendait, mais que tout le monde finit par adorer. Surfshark génère une identité complète : nom, prénom, adresse, date de naissance, et mail. Vous pouvez même choisir le pays (US, Allemagne, Australie, etc.). C’est pratique pour s’inscrire sur un site douteux sans balancer votre vraie vie. Pourtant, ne vous faites pas d’illusion : c’est un alias, pas une carte d’identité officielle. Ça suffit pour éviter le spam, pas pour ouvrir un compte bancaire offshore.

Le prix, la facilité, la conclusion

Ajouter Surfshark One à votre abonnement VPN coûte 60 centimes. Pas 6€ … 60 centimes … par mois (2.38€/mois le VPN seul, 2.98€ pour la suite One en complément). Pour ce prix, vous obtenez un antivirus, un chasseur de leak, un moteur de recherche privé et un générateur d’alias. C’est moins cher que de passer de la petite à la grande frite sur votre menu kebab, pour avoir une équipe de sécurité 24/7.

En résumé, si vous cherchez une solution plug-and-play pour dormir sur vos deux oreilles (et vos deux yeux), Surfshark One fait le job. Pas de console d’admin complexe, pas de lignes de commande à taper à 3 h 14. Juste quatre services qui montent la garde pendant que vous rêvez de moi code et de conquête du monde. Donc, la prochaine fois qu’un bot tentera de se faufiler dans votre vie numérique à l’aube, vous serez déjà protégé. Et lui, il repartira bredouille.

Source : korben.info